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Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

Note de la Rédaction

Un article paru après la mort de Jeffrey Epstein, mais visiblement rédigé avant.

Jeffrey Epstein est un nom peu connu de ce côté de l’Atlantique. Les médias européens travaillent à y remédier mais d’une façon assez particulière, comme vous allez voir. En attendant, aux États-Unis, la mèche du plus gros scandale de pédophilie de l’histoire est allumée. L’explosion à venir laissera des traces.

 

Un milliardaire pédophile légendaire

Jeffrey Epstein, 66 ans, fait carrière dans la banque privée Bear Stearns avant de fonder son propre cabinet de gestion. Discret sur ses clients, il entretient un carnet d’adresse extrêmement fourni l’amenant à côtoyer les personnalités riches et célèbres du monde – politiciens, hommes d’affaires, vedettes de cinéma. Il acquiert ainsi de précieux mandats de gestion qui le rendent richissime.

Autant que son goût de la fête, son attirance pour les femmes très jeunes, voire trop jeunes, n’est un secret pour personne. Avant les années 2000, il achète l’île de Petit Saint-James dans les Îles vierges américaines. Il commence à la transformer – en éliminant la végétation indigène, en entourant la propriété de palmiers imposants et en plantant deux énormes drapeaux américains à chaque extrémité. L’homme a choisi ce lieu pour sa discrétion ; lorsque des guides amènent les plongeurs dans des lieux proches de l’île, les agents de sécurité se déploient sur les rives. Mais on se doute de ce qui s’y passe. L’île est surnommée Pedophile Island par les habitants des îles voisines.

 

 

L’éloignement de son repaire ne pose pas de problème à notre homme, car il dispose de son Boeing 727 personnel. L’avion, dont il se sert également pour faire la navette de filles mineures entre New York et Palm Beach, est plaisamment surnommé Lolita Express, selon le roman où un homme manœuvre pour coucher avec une fille de douze ans. Il est équipé d’un lit. Un employé est à bord pour s’assurer que des victimes mineures soient toujours « disponibles pour assouvir les besoins du patron » dès son arrivée.

L’avion ne sert pas qu’à Epstein. Il transporte aussi des invités de marque. Nous y reviendrons.

Jeffrey Epstein se fait finalement rattraper par la justice. Classé délinquant sexuel, il est condamné en 2008 à une peine de dix-huit mois de prison pour prostitution sur mineure. Il passe un accord avec le procureur de Floride dont la teneur est tenue secrète, même de ses victimes. Alors qu’il encourt des décennies de réclusion, la peine est extraordinairement douce. Dix-huit mois de prison, dont il ne fait que treize. Son aménagement de peine lui permet de passer ses journées à son bureau. Sa cellule privée est la plus luxueuse qui soit.

Dire qu’Epstein a bénéficié d’appuis en haut lieu serait un euphémisme. Nous y reviendrons aussi.

Après cet épisode, Jeffrey Epstein se fait plus calme, mais à peine. Il passe bien moins de temps aux États-Unis. Il y est arrêté récemment pour trafic de drogue et complot, lors d’une brève halte à New-York. L’affaire est relancée : entre 2002 et 2005, loin de simplement coucher avec des mineures, il aurait payé des filles de 14 ans non seulement pour des faveurs sexuelles mais aussi pour en recruter d’autres. Il s’agirait donc de proxénétisme aggravé avec des mineures. Il aurait aussi frappé certaines de ses victimes, et peut-être pire encore. Du matériel pédophile a été retrouvé sur ses appareils électroniques. Une soixantaine de jeunes filles auraient été victimes de son réseau.

Plaidant non coupable sur les accusations de proxénétisme sur mineure et de proxénétisme en bande organisée sur mineures, il encourt une peine de 45 ans de prison en cas de condamnation. Il est assez riche pour se payer de bons avocats ; ceux-ci rejettent les chefs accusation en disant qu’ils tombent sous le coup de l’accord extrajudiciaire de 2008. La justice répond que cet accord valait pour l’État de Floride et non pour celui de New-York où il vient d’être arrêté. Et tous les projecteurs se braquent sur cet étrange accord extrajudiciaire de 2008 signé avec le procureur de Floride.

Pourtant, même la relance de cette affaire, maintenant en 2019, ne doit rien au hasard.

 

Jeffrey Epstein, un modèle d’affaire original

L’histoire prend une tournure ahurissante. Elle est en plein développement.

Nous disions que, dans une saine attitude de partage des ressources, Jeffrey Epstein avait l’habitude de prêter son Boeing 727 Lolita Express à des amis. Les gens qu’il fréquentait, les personnalités riches et célèbres du monde. Mais, en homme avisé, il tenait aussi des comptes de leur passage dans un petit carnet noir, qui a fuité.

Bien des politiciens, hommes d’affaires, vedettes de cinéma devinrent très nerveux avec cette histoire de milliardaire pédophile. Bill Clinton, par exemple, qui, bien que personne ne lui ait jamais rien demandé, s’est empressé après la nouvelle arrestation d’Epstein de déclarer aux médias qu’il n’était monté « que quatre fois » à bord du Lolita Express – et uniquement pour des voyages visant à promouvoir la lutte contre le SIDA.

Une telle grandeur d’âme force le respect, encore que l’ancien Président puisse choisir des moyens de transport moins polémiques, mais c’est faux. D’après le carnet de bord d’Epstein, Bill serait monté à bord du Lolita Express vingt-six fois. Et pratiquement à chaque fois qu’il était à bord, il y avait aussi des filles mineures.

Quelques-uns de ses autres passagers ?

- Ralph Fiennes
- Alec Baldwin
- David Blaine
- Jimmy Buffett
- Courtney Love
- Charlie Rose
- Barbara Walters
- Ehud Barak
- Tony Blair
- David Koch
- John Gutfreund
- le Prince Andrew de la famille royale d’Angleterre

...Et Donald Trump. Mais nous y reviendrons.

Bien entendu, le fait qu’une personnalité ait fait un petit vol sur le Lolita Express ne signifie pas forcément que des actes répréhensibles selon la loi et la morale aient eu lieu. Mais si ces trajets se multiplient, on peut tout de même se poser des questions.

Comment Jeffrey Epstein est-il devenu riche ? Il n’est pas trader. Mais nous savons que c’est un homme avisé, comme en témoigne son petit carnet noir, et qu’il est adepte de pratiques sexuelles déviantes, comme le sexe avec des fillettes. Se pourrait-il qu’il ait d’autres déviances, comme le voyeurisme ?

Se pourrait-il qu’il ait installé, que ce soit sur son île privée ou dans son jet de luxe, des caméras pour filmer ses ébats... Ou ceux de ses invités ?

Se pourrait-il qu’il ait obtenu ainsi un moyen de pression absolument fantastique contre le gratin des grands de ce monde ?

Se pourrait-il que ses nombreux amis, sensibles à ses arguments, lui aient confié leur argent à l’aide d’un mandat de gestion ? Comme l’explique Quantian, un utilisateur de Twitter, une fois que la victime a compris que ses ébats sont sur vidéo, le reste est simplissime :

« Il suffit alors de lui demander de virer ses économies sur un fonds offshore dans un paradis fiscal (tiens, comme celui d’Epstein) et personne ne verra la liste des clients (comme pour Epstein). Bien sûr, vous ne connaissez rien à l’investissement, mais vous faites plutôt des sottises sur le trading de devises (comme Epstein), et personne à Wall Street n’a jamais échangé avec vous (comme Epstein).

Un virement de 20 millions de dollars du milliardaire X sur votre compte bancaire, sans raison évidente, soulèverait de nombreuses questions. L’IRS voudrait certainement savoir ce que vous avez fait pour le justifier. Mais des frais trimestriels de 5 millions de dollars pour la gestion d’un actif d’un milliard de dollars ? Personne ne hausse le moindre sourcil. »

La prospérité d’Epstein pourrait reposer sur un racket de la pire espèce, mais cela expliquerait aussi pourquoi ses victimes haut placées aimeraient tant que l’individu reste libre. Peu importe qu’il paye pour ses crimes ou non - le véritable danger est dans sa bibliothèque de vidéos, qui pourrait contenir les ébats de nombreuses personnalités de premier plan avec des prostituées mineures.

Ce n’est pour l’instant qu’une théorie, mais elle tient la route. Et elle explique aussi la suite.

 

Le Meilleur Ami Pédophile de Trump, ou la genèse d’une fake news

Un événement singulier a lieu depuis quelques jours : une étonnante falsification de l’histoire se coordonne entre Wikipédia, Google, et les grands médias d’Amérique et du monde. Dans cette falsification, les liens nombreux et puissants entre Epstein et le clan Clinton et autres Démocrates disparaissent, pour être remplacés par des liens superficiels avec Trump mis au premier plan. Et seuls ces derniers subsistent.

Les pages Wikipédia sont ainsi discrètement éditées. Les recherches d’images et les associations dans Google sont subtilement modifiées. Dans Le Figaro, Jeffrey Epstein devient « le milliardaire proche de Donald Trump ». Il y a des centaines d’exemples.

En version française, l’article de Valérie de Graffenried dans les colonnes du Temps est un bijou du genre. Les sous-entendus subtils s’associent aux délicats arômes de passages sous silence pour concocter un magnifique bouquet de désinformation.

Comme tout bon journaliste vous le dira, tout mensonge doit être entremêlé de vérité. Il y a des faits indéniables. Ainsi, le procureur qui scella l’accord de 2007 avec Epstein est Alexander Acosta qui est devenu ministre du Travail de Donald Trump, explique la journaliste. La trame implantée est à peine visible. Est-ce parce qu’il a scellé l’accord de 2007 avec Epstein qu’il est devenu ministre du Travail de Donald Trump ? La réponse est évidemment négative – parce qu’Acosta n’était pas le premier choix de Donald Trump pour ce poste. Et parce qu’en 2007, personne, peut-être pas même Trump, ne savait qu’il serait président dix ans plus tard.

 

 

Alexander Acosta n’est peut-être pas exempt de fautes et pourrait se faire rattraper par cet épisode, mais l’histoire est plus compliquée qu’il y paraît. Le juge qui valida cet accord, par exemple, était un appointé de Bill Clinton. Et Acosta a témoigné avoir subi des pressions à l’époque pour le pousser à une transaction – une source en haut lieu aurait ainsi affirmé qu’Epstein était « d’une catégorie supérieure » et devait être protégé « parce qu’il était lié aux services de renseignement ». Or, il existe des preuves écrites d’un lien entre le FBI et notre pédophile. Et qui était directeur du FBI à l’époque ? Un certain... Robert Mueller. Mais tout ceci n’est probablement que le fait du hasard.

Si Jeffrey Epstein avait été amené à « collaborer » avec des services de renseignement, on n’ose imaginer les moyens de pression dont disposeraient les fonctionnaires de ces agences vis-à-vis des puissants de ce monde, américains ou étrangers, corrompus par un voyage sur le Lolita Express.

Dans les articles européens, on ne verra pas mention des vingt-six voyages en avion de Bill. On ne verra pas les nombreuses donations d’Epstein à des organisations démocrates, des ONG de gauche et à la Fondation Clinton. On ne fera pas mention des 3,5 millions de dollars donnés à Clinton par Epstein via un compte suisse.

Trump, en revanche, perçut assez vite Epstein pour ce qu’il était – un type intéressé par les filles jeunes, « parfois un peu trop jeune ». S’il côtoyait socialement le milliardaire comme beaucoup d’autres membres de la jet-set, il le fit chasser de son club exclusif de Mar-a-Lago après qu’Epstein se soit montré pressant envers la fille de quatorze ans d’un employé du club, avec interdiction de jamais y remettre les pieds.

En fait, il est peu probable que Trump ait jamais cherché à protéger Epstein, non seulement parce qu’il n’avait absolument aucune influence sur la politique et la justice américaine avant son élection, mais surtout parce qu’il a probablement tout à gagner à ce que les réseaux d’Epstein tombent avec le proxénète.

 

Un zeste de vertige

Livrons-nous à un peu de spéculation. Ressortons du placard la fameuse « théorie du complot » du Pizzagate - une page Wikipédia qu’il est bon d’archiver au vu de ce qui pourrait se produire ces prochaines semaines.

Vous ne vous rappelez pas le Pizzagate ? « Une théorie conspirationniste prétendant qu’il existe un réseau de pédophilie autour de John Podesta, l’ancien directeur de campagne d’Hillary Clinton, par le biais de diverses interprétations et constructions, notamment en rapport avec une pizzeria et des courriels privés divulgués par WikiLeaks. »

En fait il s’agit moins de pizzas que de mots-clés employés dans des courriers pour mentionner autre chose. Citons encore l’article de Wikipédia :

Dans sa correspondance qui paraît anodine, John Podesta mentionne plusieurs fois les mots pizzas, fromages et pâtes. Herbert Sandler, un agent immobilier demande dans un message à John Podesta intitulé fromage « tu penses que je ferais mieux de jouer aux dominos sur du fromage ou sur des pâtes ? ». Dans un autre courriel, Tony Podesta écrit à son frère « Mary n’est pas libre. Tu aimerais avoir une pizza pour une heure ? ». Un 4channer pro–Trump (sic) lit les nombreux messages et pense déchiffrer un code utilisé pour communiquer en toute discrétion. Cheese Pizza, dont l’acronyme est CP serait utilisé pour parler de Children Pornography. Pizza désignerait une fille, domino pour domination, cheese signifierait petite fille, hot dog pour garçon, pasta pour petit garçon, glace veut dire gigolo et sauce pour orgie. Le mot « pizza » est en effet employé comme mot de code pour désigner des notions en relation avec la pédophilie. Déjà en 2010, l’Urban Dictionary indiquait pour « Cheese Pizza » le sens de « child pornography ». En octobre 2017, un homme a été arrêté aux États-unis comme suspect d’activités pédophiles parce qu’il avait placé une annonce intitulée « "Woman/Moms that are into Cheese Pizza » et que, selon l’U.S. Attorney’s Office, « Cheese Pizza » est un mot de code pour pornographie enfantine.

Qui commande des pizzas « pour une heure » puisque « Mary n’est pas libre » ? Qui « joue aux dominos sur du fromage ou sur des pâtes » ? Dans leur sens usuel, ces phrases n’ont absolument aucun sens.

Mais, nous sommes d’accord, et les rares esprits indépendants du grand public se sont vus suffisamment bourrer le crâne pour qu’on n’en parle plus. Le Pizzagate est juste une théorie du complot, les grands médias (au-dessus de tout soupçon comme chacun sait) s’étant empressés de le démontrer.

Maintenant, entre les 26 vols de Bill à bord du Lolita Express, les étranges mails de John Podesta, les protections en haut lieu dont a visiblement bénéficié Jeffrey Epstein en 2008, il paraît difficile de penser que le volet judiciaire de l’affaire ait été traité en totale indépendance.

Il va de soi que rien de tout cela ne serait jamais ressorti sous la présidence d’Hillary Clinton. Mais l’impensable s’est produit, Trump a été élu. La protection que s’accordaient les uns les autres semble se fissurer. La vérité éclatera-t-elle ?

 

Voir aussi, sur E&R :

Le pizzagate, sur E&R :

 






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42 Commentaires

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  • #2257564
    Le 13 août 2019 à 16:30 par Domino
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    "Des pions sur l’échiquier", de W. G. Carr, paru en 1954, est considéré par certains comme le meilleur sur le "Mouvement Révolutionnaire Mondial" (MRM). Voici ce qu’il relate.

    En 1784, un courrier fut frappé par la foudre du côté de Ratisbonne, en Bavière. Le document subversif qu’il portait était destiné à des conspirateurs en vue de provoquer une révolution en France en 1789.
    Quel était ce document si important ? Un plan qu’Adam Weishaupt, professeur à l’Université d’Ingolstadt, avait élaboré. Après avoir abandonné le christianisme, cet ancien élève des Jésuites avait organisé les Illuminati en 1776, et pour mener à bien son projet, avait recruté environ deux mille adeptes parmi les gens d’influence dans tous les domaines (Arts et Lettres, Education, Sciences, Finance, Industrie...). Il établit ensuite les Loges du Grand Orient qui constituaient des quartiers généraux secrets.
    Les documents complémentaires trouvés lors de perquisitions dans les loges du Grand Orient confirmèrent l’existence d’une conspiration prévoyant d’utiliser des guerres et des révolutions pour établir un gouvernement mondial. Le gouvernement bavarois expédia des exemplaires de la conspiration aux dirigeants des Etats et des Eglises d’Europe. Ces avertissements furent ignorés.

    Quels étaient les objectifs du plan d’Adam Weishaupt ?
    - abolition de tous les gouvernements nationaux
    - abolition de l’héritage et de la propriété privée
    - abolition du patriotisme,
    - abolition de la vie familiale
    - abolition de toutes les religions existantes

    Le plan nécessitait l’accomplissement des points suivants :
    - l’usage de malversations monétaires et de la débauche sexuelle pour obtenir le contrôle des personnes de haute situation dans tous les gouvernements. Une fois pris au piège, impossible pour les puissants de résister aux chantages, à la peur du scandale...
    - recrutement d’étudiants aux capacités intellectuelles exceptionnelles pour leur faire subir un entraînement à l’internationalisme, et ensuite les placer dans les coulisses des gouvernements
    - contrôle de la presse.

    - 

     

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  • #2257569
    Le 13 août 2019 à 16:39 par clyde Barrow
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    C’est marrant, pas un mot sur le MOSSAD !?? Bon quand je vois la provenance "lesobservateurs.ch" je suis moins surpris... ce site est trés interessant sur bien des aspects mais est aussi profondément pro-sionniste

     

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    • #2257707
      Le Août 2019 à 20:12 par Mistersmith
      Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

      oui il y a un danger à mettre trop en évidence le pédo-truc et à oublier qu’il s’agissait d’abord d’une entreprise de chantage au profit du Mossad (par la fille Maxwell sans doute le cerveau de l’affaire).

      En fait les "piégés" n’ont pas forcément besoin d’avoir vraiment eu des moeurs de gros cochons. Il suffisait à Epstein d’obtenir une photo d’un politique trinquant avec une mineure dénudée au bord de sa piscine pour que le mec soit tenu...
      _
      on se demande parfois d’où vient la puissance des Inuits... on a là une réponse.

       
    • #2257729
      Le Août 2019 à 20:46 par Il Popolo d’Italia
      Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

      Voir cet article du Point qui reprend sans (trop) les ridiculiser toutes les "théories" et hypothèses... toutes les théories mais ne parle jamais du... Mossad

      https://www.lepoint.fr/monde/qui-a-...

       
  • #2257612
    Le 13 août 2019 à 17:43 par fanch
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    Véritablement abominable ....
    Mais les premiers coupables sont les parents de ces enfants-victimes : ils sont responsables d’eux jusqu’à leur majorité, quitte à être autoritaire.
    Que faisaient leurs parents pendants ce temps ?
    Je sais que beaucoup de ces gamins sont issus de l’assistance publique, des foyers etc mais est ce une raison suffisante pour ne pas s’en occuper ?

     

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  • #2257629
    Le 13 août 2019 à 18:24 par Mister X
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    Trump va se faire assassiner et tout rentrera dans l’ordre ; le nouvel ordre.

     

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  • #2257680
    Le 13 août 2019 à 19:34 par professeur nimbus
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    Très intéressant cet article qui donne des photos de la villa d’Epstein en Floride.
    On y découvre qu’il avait un fauteuil de dentiste équipé dans sa salle de bain.
    https://www.dailymail.co.uk/news/ar...

    En voyant ça j’ai complètement déraillé. Je me suis rappelé d’un roman de Dantec où il y a des tortures dans une villa équipée d’un fauteuil de dentiste. Heureusement ça n’a pas duré !

     

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    • #2257741
      Le Août 2019 à 20:58 par ladko
      Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

      Le dentiste, c’est dans Marathon Man avec Dustin Hoffman.

      On n’en sort pas...

       
    • #2257864
      Le Août 2019 à 02:46 par Elisa
      Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

      Sans vouloir être l’avocat du diable, cet article illustre clairement la malhonnêteté de la presse people. C’est une chaise de salon esthétique pour faire des soins du visage (j’ai réalisé ça en lisant les commentaires en-dessous. Etant une femme et ayant déjà vu ce genre de chaises dans certains établissements, je confirme :-) )
      Je ne suis déjà faite avoir par de telle articles, je ne vous jette pas la pierre :-)
      Ensuite, vraiment rien de choquant dans les photos et objets qu’on peut voir. Autre mensonge : c’est un homme qu’on voit dans ce qui semble être une esquisse d’un homme recroquevillé par terre... Si c’est une femme, elle est très sportive. Enfin, sur les autres photos, ce sont des femmes jeunes, mais largement pubères, avec seins et hanches.
      J’ai vu les mêmes méthodes malhonnêtes dans le cas Michael Jackson.

       
    • #2257964
      Le Août 2019 à 10:25 par PMJLL
      Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

      Merci Elisa, remarques pleines de bon sens.

       
  • #2257778
    Le 13 août 2019 à 21:52 par De passage
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    Bon sang !
    C’est plus le marais qu’il faut purger là..

    Il a encore beaucoup du boulot le Trump...

     

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  • #2257857
    Le 14 août 2019 à 01:40 par Mary M
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    Ça me dépasse... Le niveau de manipulation et de degueulasserie de ces gens là est tel que je ne suis même pas sûre d’employer les bons mots pour décrire la situation.
    Une question... Vous pensez que la culpabilité est un sentiment qui traverse ces gens-là ? Ont-ils des remords ?
    Si Clinton retourne 26 fois à bord du Lolita pour y faire ce qu’on le soupçonne d’y faire, c’est par goût pour le truc ou c’est parce qu’il est tenu par Epstein ? Je ne sais pas vous mais comme dirait l’autre ’’ y’a un clapet qui se ferme ’’. J’essaie de comprendre mais je n’y arrive pas. Ces histoires de pédophilie, en réseaux, sur fond d’argent et de politique, le tout sur une île ou à bord d’un boeing me dépassent complètement...

     

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    • #2257965
      Le Août 2019 à 10:27 par De passage
      Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

      Les remords et la culpabilité c’est pour les gens normalement constitués comme vous, moi et la grande majorité des gens,
      eux (satanistes et ennemis de l’humanité déclarés) n’en sont plus là et ont dépassé ces sentiments humains.
      Ce sont de grands pervers (au sens clinique et moral) qui font tout en deçà des normes et des lois tout en restant au dessus.

      Ils ont un plan préparé depuis des lustres et ils s’y tiennent : l’établissement du N.O.M et ils feront tout pour y arriver.

      Après il ya des "accidents" en chemin liés a "l’hommerie" et des bagarres rivales entre faction oligarchiques éclatent et ça donne des éclaboussures comme celles auxquelles on assiste en ce moment.

      [C’est ça qu’il ya de genial avec les humains : c’est souvent les détails liés a notre imperfections qui font tout foirer !
      Et c’est aussi une chance d’attaquer a travers ces brèches quand elles s’ouvrent !]

      Mais pas de soucis, ils vont sacrifier quelques boucs émissaires devant l’opinion (rien qu’avec ça c’est signé !) et mener une pseudo enquête qui ne genera ni les gros réseaux, ni le pouvoir profond : c’est le rôle même d la presstituée

      Perso je pense que cette affaire "Epstein" a la potentiel pour faire tomber l’état profond U.S sachant que tout le cloaque (Hollywood, wall street, politiques, justice, services secrets, mossad, milliardaires richissimes,...) est mouillé

      En ce moment, ils sont en train de se demander comment camoufler tout ça et comment nous berner..

      Il faut vraiment les arrêter... c’est eux ou nous !

       
    • #2258402
      Le Août 2019 à 21:47 par sankara
      Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

      Vous n’avez pas encore tout vu ! Allez sur le site "Vigilant Citizen",lisez leurs enquêtes, vous en apprendrez sur l’UNICEF ou bien sur les mineurs drag queens .
      ...C’est une pourriture sans fond ! Le mot "remords" ne peut que faire rire ces milliardaires satanistes.

       
  • #2258065
    Le 14 août 2019 à 13:24 par zerto
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    ne vous enflammez pas . les medias vont mettre les projos sur ceux qui sont en dessous d’epstein et au niveaux de brunel etc... mais iront ils au dessus ?
    en commençant par ghislaine maxwell ?

    des petites tronches vont tomber mais les boss se déplacent en riant.

     

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  • #2258267
    Le 14 août 2019 à 18:30 par joszik
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    Ils sont criminels parce que pédophiles ou sont-ils pédophiles parce que criminels ?

     

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  • #2258358
    Le 14 août 2019 à 20:48 par uzak
    Jeffrey Epstein, l’affaire de pédophilie du siècle

    Pourquoi un temple si ce n’est pour accomplir des rituels https://www.youtube.com/watch?v=VK6...
    En plus de la pédophilie il faut dénoncer et parler de leur horreur.
    si bien documenté dans la BD "la vilaine Lulu " . La France à son état profond comme au USA.

     

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